Depuis 1981, l’entreprise Sotraba a bâti sa réputation sur la qualité de ses nombreuses réalisations dans un souci de relation privilégiée avec ses clients. Une maison signée “Sotraba” est un gage de pérennité et de sérénité, nos préoccupations premières étant de répondre à vos envies, de respecter votre personnalité et votre budget. C’est par l’écoute…
Faites nous part de votre projet de construction individuelle dès aujourd’hui
Faites connaissance avec Philippe Courtoy dans sa fonction de directeur d’études au sein de Sotraba.
La construction de maisons est l’activité historique de Sotraba. Parallèlement à ses activités de promoteur, la société offre à nouveau ses services aux particuliers qui souhaitent construire une maison sur leur propre terrain. Et l’engouement pour vos services semble croissant.
Qui sont ces candidats à la construction sur terrain d’autrui ?
Il y a principalement deux cas de figure, qui vont chacun déterminer le niveau de prise en charge par Sotraba. Soit le propriétaire d’un terrain se présente muni d’un avant-projet de maison éventuellement déjà conçu par un architecte, soit il n’en a pas du tout, ce qui impliquera la prise en charge la plus complète. Un propriétaire sans avant-projet ne sait peut-être pas encore ce qu’il compte ou peut construire sur son terrain, il ne sait peut-être pas non plus comment réaliser son projet, et n’a peut-être aucune idée du budget que cela représente. Dans tous les cas, nous sommes là pour répondre à l’ensemble de ses besoins.
Un particulier peut-il aussi s’adresser à Sotraba pour savoir si un terrain qu’il convoite convient à la construction de son projet ?
Qu’on en soit déjà propriétaire ou qu’on en envisage l’acquisition, l’analyse d’un terrain est toujours préalable à la construction. C’est ce qu’on appelle dans notre jargon une mission d’études. En tant que constructeur, Sotraba a l’obligation de garantir la stabilité du bâtiment. Pour cela, il est indispensable de connaître la nature du sol, qui peut varier sensiblement sur une même parcelle, présenter des galeries ou encore des poches d’eau, et même contenir une ancienne décharge comme nous en avons déjà fait l’expérience. Ce n’est qu’au terme d’essais de sol et de calculs de répartition des charges que nous sommes à même d’émettre un avis de fondation. Et à supposer que le projet implique un déplacement de terres important, il faudra procéder en sus à leur analyse afin d’y détecter une éventuelle pollution.
A côté de cela, il y a la connaissance précise des prescriptions urbanistiques liées au terrain. Elle est tout aussi importante, car un terrain sur lequel on peut bâtir ne signifie pas pour autant qu’on puisse y construire ce qu’on veut. Un terrain pourrait être repris dans un lotissement qui interdirait, par exemple, les toitures plates, ou imposerait une hauteur de corniche impliquant l’obligation de construire un étage, alors que l’avant-projet était basé sur une maison de plain-pied… Créer des plans sans une étude complète préalable, ça ne sert pas à grand-chose, sinon perdre du temps et de l’argent. Que cette mission d’études soit réalisée par une société comme la nôtre ou via un architecte, elle dépasse naturellement le stade du conseil puisque cela suppose des engagements de frais réels par rapport à des tiers qui vont être sous-traités pour la réaliser. Et elle sera toujours préalable à la prise en charge complète d’un projet. Elle fait l’objet d’un devis précis, et son montant est déduit en cas d’engagement avec Sotraba.
Cette mission d’études peut donc remettre un projet en question ?
Dans tous les cas, elle peut avoir des répercussions et poser des contraintes sur un projet, quel que soit son stade de développement. Le prix final d’une construction dépend de l’analyse nécessaire de tous les paramètres. Notre politique n’est pas de faire signer un contrat pour la construction d’une maison et de réviser ensuite le budget à la hausse en présentant des suppléments parce que les inconnues du terrain n’avaient pas été levées avant. Cela n’a aucun sens. Et se retrouver avec un coût supplémentaire de, par exemple, 35 000 euros pour des fondations, c’est totalement déstabilisant, sans mauvais jeu de mots. Nous faisons systématiquement une étude complète qui découlera sur un prix global, à savoir celui qui sera payé en finalité.
Quelles sont les principales préoccupations des candidats à la construction ?
Ces préoccupations, bien légitimes, concernent essentiellement le budget et les délais.
Lorsque nous rencontrons un candidat à la construction, notre première approche n’est pas de connaître exactement le budget dont il dispose. Je m’explique. La connaissance de ce budget est bien sûr nécessaire, et on ne pourra pas entamer une esquisse de projet si on n’a pas la moindre idée du budget qui peut être alloué. Mais qu’y met-on exactement ? Car quand on parle budget, on ne parle pas seulement du montant de la construction. Encore faut-il savoir ce que contient réellement et précisément ce budget. Lorsqu’un candidat nous annonce qu’il dispose d’un budget de 250 000 euros, par exemple, s’agit-il uniquement d’un budget pour la construction, ou inclut-il aussi la cuisine, les sanitaires, les peintures, les frais de raccordement ou encore le chalet de jardin ? Quelle part veut-il consacrer à la cuisine : 5 000 ou 30 000 euros ? Les raccordements sont-ils déjà disponibles sur le terrain ?, etc. En décomptant certains éléments, on pourrait ainsi se rendre compte que le budget prévu pour la construction est en réalité de 180 000 euros. C’est pourquoi il nous faut d’abord bien comprendre ce que le candidat souhaite. Nous lui expliquons ensuite les tenants et aboutissants de ses souhaits, les implications de tel choix ou tel paramètre. Notre objectif premier est donc de l’aider à se poser les bonnes questions, d’anticiper ses problèmes et lui fournir des réponses et des explications claires pour qu’il fasse les choix les plus adaptés à sa situation et à son budget.
Le volet énergétique est-il particulièrement concerné ?
Assurément ! Les techniques spéciales impactent fortement le budget, avec une enveloppe qui peut varier de 10 000 à 60 000 euros, hors achat des appareils. Or, nous n’avons pas vocation à imposer quoi que ce soit. Notre obligation en tant que constructeur est de respecter un cadre légal et un niveau de performances. Il y a juste plusieurs manières de l’atteindre. Et il n’y a pas de réponse unique. Nous tenons absolument à fournir des explications détaillées sur tous ces aspects, et à rectifier si nécessaire certaines fausses informations qui circulent sur ces sujets. Tout comme nous tenons à délivrer nos conseils pour ces techniques spéciales en fonction du projet, de la composition du ménage, du mode de vie, de l’espace disponible et du budget. Si le souhait est, par exemple, d’avoir une pompe à chaleur mais que le budget ne l’autorise pas au départ, nous soumettons au candidat la solution technique permettant de la prévoir lors de la construction et de pouvoir en installer une ultérieurement lorsqu’un budget pourra être dégagé. Et nous remettons dans la foulée une offre de prix très détaillée. Dépenser de l’argent pour quelque chose qui n’est pas adapté n’est jamais justifié. La personnalisation n’est pas synonyme de coûteux, au contraire, elle peut être en réalité génératrice d’économies. Et c’est aussi parce que nous offrons du vrai sur-mesure que Sotraba tire son épingle du jeu sur ce marché très concurrentiel. Cette volonté de personnalisation a toujours fait partie de notre philosophie de travail. Si nous proposions un système dans la moyenne, nous y intègrerions aussi des choses qui n’intéressent pas forcément la personne concernée. Ce serait en ce sens déjà trop cher pour elle, puisqu’elle paierait pour des choses dont elle n’a pas besoin ou envie, et elle risquerait à terme de payer plus cher pour des choses qu’elle aurait voulu en plus ou à la place. C’est pourquoi nous nous sommes toujours refusés à proposer des modèles de maison avec des prix, car c’est clairement une source de malentendus et de méfiance. Et c’est tout ce que nous ne voulons pas.
Ce qui commence bien se termine bien. Et l’inverse est généralement vrai aussi.
La demande pour ces services semble croissante. Or, vous ne communiquez pas directement en ce sens. Sotraba bénéficierait-elle d’une sorte de capital-confiance ?
Sotraba est très bien représenté dans sa zone géographique d’activité grâce à plusieurs milliers de maisons et d’appartements déjà construits à ce jour. Nos clients potentiels connaissent donc notre réputation de promoteur et de constructeur clé-sur-porte. Ils savent que nous offrons une garantie de résultat, à la fois en termes de qualité de construction, de délais et de respect du budget annoncé. Tout comme ils savent que nous confier la gestion complète de leur projet leur garantira une vraie tranquillité d’esprit, en leur évitant notamment toutes les démarches et les problèmes administratifs. Ils sont certains aussi que nous prendrons tout en compte pour pouvoir leur offrir une réponse globale avec un budget fixe, et non pas des fragments de réponses avec tout un tas de variables et d’inconnues qui vont à coup sûr générer des surcoûts. Si nous avons relancé nos services à la construction sur terrain d’autrui, c’est parce que la demande est vraiment là !
Votre zone d’activité couvre théoriquement une périphérie de 50 km autour de Nivelles. Cela signifie-t-il qu’on ne puisse pas s’adresser à Sotraba si le terrain dépasse ce périmètre ?
Ce périmètre présente une certaine élasticité. Il est davantage basé sur la mobilité et la gestion du temps que les distances proprement dites. Par exemple, nous construisons des maisons à Assesse, dans la province de Namur. Cette commune est éloignée de plus de 50 km de Nivelles, mais elle est en revanche facilement accessible par l’autoroute, ce qui s’avère déterminant. Vu que nous travaillons avec des personnes que nous respectons, il est pour nous hors de question de leur imposer trop d’heures de route en plus de leurs heures de prestation journalières, qui sont au nombre de huit pour que chaque chantier avance comme il se doit afin de respecter les délais annoncés. Et si nous avons par ailleurs un projet à Chimay, c’est parce qu’une partie de nos équipes vit dans la région de Charleroi. Mais nous n’irons pas du côté d’Anvers, par exemple, car nous n’avons aucun sous-traitant dans cette province. Et la politique de Sotraba n’est pas de faire des exceptions en appliquant des suppléments qui n’ont pas lieu d’être habituellement.
Ces projets ne concernent-ils que des constructions neuves ou peut-on aussi s’adresser à Sotraba pour une rénovation ?
Nos services concernent également des projets de rénovation dite lourde, qui requièrent en général le même mécanisme que celui d’une construction neuve. Il peut s’agir d’un projet où l’on garde une partie de la structure ou d’une démolition complète, y compris des fondations, pour repartir à zéro. A priori, nous n’interviendrons pas pour construire une extension dans une maison. Pas parce qu’on ne veut pas le faire, mais parce que l’encadrement et le type d’équipe requis pour ce type de projet ne correspondent pas à ce que Sotraba a consciencieusement mis en place pour ses activités. A chacun son métier !