Vous envisagez d’acheter un bien neuf mais vous hésitez face à certaines contraintes ? On fait le point avec Nicolas Keusters, Administrateur délégué de Sotraba, entreprise nivelloise experte dans la construction et la promotion immobilière depuis 40 ans.
Acheter un bien immobilier neuf reste un excellent moyen pour se constituer un patrimoine mais aussi pour recevoir une rente régulière ou encore afin de préparer sa retraite. Que l’on achète une résidence principale ou un logement voué à être mis en location, les atouts d’un bien neuf sont nombreux, comme l’explique Nicolas Keusters de la société Sotraba : “Opter pour du neuf vous permet de bénéficier des dernières techniques en matière de construction. Vous pourrez ainsi compter sur une isolation et une étanchéité au top. Cela va de pair avec une longévité dans le temps remarquable, un confort accru et des performances énergétiques exemplaires”. Autre atout, et non des moindres, une garantie décennale sur tout vice de construction. Obligatoire, celle-ci doit être offerte à l’acheteur par tout professionnel intervenant dans la structure du bâtiment.
Un bon investissement
L’histoire le montre : acheter un bien neuf se solde à tous les coups par un investissement profitable. Il faut néanmoins veiller à choisir un entrepreneur expérimenté, réputé et qui vous fera bénéficier d’un bon rapport qualité-prix. En outre, certains critères constituent de belles plus values au sein d’un bien immobilier, à l’image d’une pièce annexe à même d’être aménagée en bureau ou en chambre d’appoint, d’un jardin, d’une terrasse ou encore d’une cuisine bien équipée. Des points à tenir à l’œil lors de votre prospection !
Pour un premier achat ?
Faut-il se laisser tenter par un bien neuf pour un premier achat ? La réponse est sans aucun doute positive, surtout dans le contexte actuel : “Avec un taux de TVA à 6 % sur les coûts de construction, il est plus que jamais intéressant d’acheter du neuf. Une mesure qui a été mise en place par le gouvernement fédéral, à la condition qu’il s’agisse d’un projet de démolition-reconstruction, que l’on s’engage à habiter le bien durant cinq années et que celui-ci ne fasse pas plus de 200 m2 habitables” poursuit Nicolas Keusters. Le moment est donc venu de passer à l’action !
